Militants kurdes : l'État français dans ses basses œuvres23/10/20242024Brèves/medias/breve/images/2024/10/V%C3%A9rit%C3%A9_et_justice_pour_Sakin%C3%AA_Fidan_et_Leyla_49381464516.jpg.420x236_q85_box-0%2C78%2C1500%2C923_crop_detail.jpg

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Militants kurdes : l'État français dans ses basses œuvres

Illustration - Militants kurdes : l'État français dans ses basses œuvres

Le 19 octobre, le Conseil démocratique kurde de France (CDKF) appelait à manifester contre de nouvelles expulsions de militants nationalistes kurdes, réfugiés en France pour échapper aux arrestations, voire à la torture.

            Trois ont déjà été livrés à la Turquie en avril 2024, dont un demandeur d'asile reconnu. Il est maintenant incarcéré là-bas. Le 26 septembre, la Cour administrative d’appel de Paris a déclaré son expulsion « illégale »... cinq mois trop tard.

            Le secret-défense invoqué par le ministère de l'Intérieur indique que ces militants ont probablement été « marchandés » avec les services turcs. En échange de quoi ? Ces expulsions sont ignobles.

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