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ven
24
jan.

Réunion publique

TOURS - Centre de vie du Sanitas (1 place Neuve)

à 18h30

Plus de 70 ans après la révolution chinoise,

la Chine est devenue une superpuissance capitaliste, où cela peut-il mener ?

            Fermetures d’entreprises, licenciements, salaires en berne…  la concurrence de la Chine serait-elle la cause de l’aggravation de la situation du monde du travail ? C’est ce que le patronat tente de nous faire croire. Certes le développement économique de la Chine en fait dorénavant une puissance capitaliste bien présente sur le marché mondial.  Cette Chine qui produit non seulement des jouets, des vêtements et nombre d’articles à bas coûts, mais aussi des téléphones portables, des voitures électriques et des panneaux solaires, serait-elle le nouvel « impérialisme » qu’il faudrait craindre ?

            Après l’arrivée de Mao au pouvoir en 1949, l’Etat sous la direction du Parti Communiste, a imposé un contrôle sévère sur l’économie et sur la population, ouvrant la voie après plusieurs décennies de maoïsme, à un développement capitaliste plus ouvert. 

            Ainsi « l’atelier du monde » est devenu, depuis  une vingtaine d’années, un pays industriel avancé. Son développement économique le hisse à la 2ème place mondiale derrière les Etats-Unis dans bien des domaines. Leur rivalité ne cesse de s’exacerber, et les incidents militaires se font de plus en plus menaçants. Si la Chine a vu grossir une classe bourgeoise et les fortunes de plusieurs centaines de milliardaires, sa puissance économique est cependant bien en deçà de celle des Etats-Unis qui restent l’impérialisme dominant.

            Les centaines de millions de travailleurs chinois ne sont pas les concurrents des travailleurs ici, ils constituent au contraire une force sociale qui représente un formidable espoir révolutionnaire pour l’humanité.

 

Arrêt du tramway : PALAIS DES SPORTS

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