Derrière les Jeux, l’exploitation28/08/20242024Brèves/medias/breve/images/2024/08/2683912-places-jo-766x438.jpg.420x236_q85_box-0%2C5%2C766%2C435_crop_detail.jpg

Leur société

Derrière les Jeux, l’exploitation

Illustration - Derrière les Jeux, l’exploitation

Des salariés recrutés pour les JO par le COJOP (Comité d’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques) dénoncent les conditions de travail qui leur ont été imposées : heures supplémentaires non payées car on leur a fait signer un contrat au forfait jour, suspension des repos hebdomadaires obligeant à travailler jusqu’à 14 jours d’affilée, non respect des 11 heures de repos légales entre deux journées de travail… Et tandis que le président du COJOP, Tony Estanguet, a touché 286 000 euros par an, hors primes, et que les sponsors, fournisseurs, constructeurs des infrastructures, médias, etc., ont touché le pactole, les salaires des petites mains, eux, sont restés au plancher.

Les Jeux sont à l’image de toute la société capitaliste : nous travaillons, ils profitent !

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