General Electric (Belfort) : Toujours des suppressions d’emplois24/01/20192019Brèves/medias/breve/images/2019/01/illustration_sans_titre-3-4.jpg.420x236_q85_box-0%2C216%2C560%2C531_crop_detail.jpg

Brève

General Electric (Belfort)

Toujours des suppressions d’emplois

Illustration - Toujours des suppressions d’emplois

La direction de General Electric Power System (Ex-Alstom) vient d’annoncer la suppression de 470 postes en France, dont près de 200 à Belfort.

La direction parle de départs au « volontariat » dans un dispositif RCC (Rupture Conventionnelle Collective) issu des ordonnances Macron. Mais cela se traduira par des diminutions d’effectifs, de postes en moins disponibles pour des jeunes et par une augmentation de l’exploitation avec le même travail, si ce n’est plus, exécuté avec moins de bras.

En 2015, lors de la vente de la partie énergie d’Alstom à General Electric, le patron de ce groupe avait promis la création de 1 000 emplois nets, tout en licenciant des centaines d'emplois à Grenoble et des milliers dans toute l'Europe. Président de la République (Hollande à l'époque), ministres - dont un certain Macron alors ministre de l'économie -... tous les politiciens locaux ou nationaux ont ouvert les cordons de la bourse à GE.

Ces nouvelles suppressions d'emplois rappellent qu'il y a ceux qui commandent, les patrons et les actionnaires de GE, ceux qui leur cirent les godasses, les dirigeants de l'Etat. Mais sans les travailleurs qui produisent toutes les richesses, tous ces gens là ne sont rien. A nous tous de le leur rappeler pour défendre notre droit à la vie, à un emploi et un salaire correct.

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