TWC l’Amy – Les Fins : Les “logiques de rentabilité” contre les travailleurs30/09/20142014Brèves/static/common/img/contenu-min.jpg

Brève

TWC l’Amy – Les Fins : Les “logiques de rentabilité” contre les travailleurs

Etre licenciés ou être mutés à Morez, à 107 km des Fins, c'est le choix laissé aux 70 employés de l'entreprise TWC l'Amy. Ce groupe, horloger à l'origine, s'est développé dans le secteur du bijou, de la maroquinerie, et depuis le rachat à coup de millions en 2010 de l'Amy, des lunettes. C'est le leader français dans le développement et la distribution d'accessoires de mode aux noms très populaires de Kenzo, Nina Ricci, Sonia Rykiel ou encore Hugo Boss pour n'en citer que quelques uns.

En 2011, Bernard Arnault, à peine 14ème fortune mondiale mais tout de même 1ère fortune française, entre dans l'affaire par l'intermédiaire de L Capital, soutenu par LVMH. Ses méthodes sont affichées : il faut "réduire les coûts fixes", c'est à dire faire la guerre aux travailleurs.

C'est ce qu'ont compris les ouvriers des Fins qui ne sont pas décidés à se laisser licencier et ont commencé à organiser la riposte.

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