1, 2, 3 adjugé !

398 570 € pour le nouvel anticancéreux de Novartis, qui dit mieux ? Il n’y a donc visiblement aucune limite à l’inflation des prix des médicaments.

Les lobbyistes ont fait leur travail et les autorités de la FDA ont accepté sans rechigner. Cela fixe déjà en partie le prix du médicament pour l’Europe. Les gouvernants nous diront ensuite que les caisses de la sécurité sociale sont vides. Et peu à peu, seuls les plus riches pourront encore se soigner. Les actionnaires rentiers, eux, peuvent se frotter les mains.

Le cancer de la société, c'est la finance.