Brève
ArcelorMittal part, la pollution reste
Le pollueur doit payer
Après avoir fermé plusieurs sites dans la vallée de la Fensch, ArcelorMittal s’est engagé à les remettre en état. Une remise en l’état « compatible avec un usage industriel ». Autrement dit en procédant à une dépollution superficielle donc partielle qui interdirait la construction d’habitat ou d’équipements publics.
Et le représentant de l’État accepte cela.
Les édiles, eux, dénoncent cette situation et écrivent au président. Mais une simple lettre ne suffira certainement pas.