Brève
Devanlay-Lacoste (Troyes)
Un 100 % qui ne lui coûte guère

Devanlay-Lacoste a prétendu que les salariés ne perdraient pas de salaire, même ceux en chômage partiel. Sauf que Lacoste a utilisé plusieurs combines. D’abord, il a décrété plusieurs semaines en période basse comme c’est rendu possible par les accords de modulation dans le textile. Et puis la direction a imposé de prendre jusqu’à 10 jours de congé : 5 sur le reliquat de l’an passé et 5 sur l’année à venir. Du coup, il y a très peu de chômage partiel.
En fait, ce sont les salariés qui se sont payé le maintien du salaire à 100% !
Cadeau de patron !