Brève
Oise
BASF - Clermont : la rapacité du grand Capital
Les négociations salariales prévoient des augmentations de salaires dérisoires alors que le dividende reversé aux actionnaires devrait être augmenté de 13,6% et les plus hauts revenus de 25%.
C'est d'autant plus choquant qu'un groupe comme BASF, riche à milliards, pourrait assurer en prenant sur ses bénéfices présents et passés (le géant de la chimie BASF vient de réaliser un bénéfice de 6,19 milliards d'euros en 2011), non seulement une augmentation conséquente des salariés du groupe mais aussi des entreprises sous-traitantes qui travaillent pour son compte.