Proche-Orient : morale à géométrie variable31/07/20242024Brèves/medias/breve/images/2024/07/Gaza_1v2wL4v.jpg.420x236_q85_box-0%2C43%2C1200%2C718_crop_detail.jpg

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Proche-Orient : morale à géométrie variable

Illustration - Proche-Orient : morale à géométrie variable

Samedi 27 juillet, un tir de roquette a conduit au massacre de douze adolescents druzes sur le plateau du Golan, occupé par Israël. La Maison Blanche a immédiatement accusé le Hezbollah libanais et a réitéré au gouvernement israélien son « soutien indéfectible ». Le Hezbollah dément être à l’origine du tir même s’il reconnaît avoir ciblé sur des objectifs militaires. 

Josep Borrell, le chef de la diplomatie européenne a demandé l’ouverture d’une enquête internationale. Ces bonnes âmes impérialistes, qui se sont précipitées pour dénoncer ce qui ressemble à une erreur de tir, n’ont par contre pas eu un mot pour condamner le bombardement israélien le même jour, délibéré celui-là comme tous ceux perpétrés chaque jour depuis des mois, qui a fait 30 morts dans une école de Gaza.

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