Macron se met en scène sur les lieux du crime de l'impérialisme français : abject !

Confronté à la colère de la population privée de tout : d'abris, d'eau, de nourriture, d'électricité et de moyens de communication Macron a osé rétorquer : « C’est pas moi le cyclone ! »

Et d’enchaîner sur de vagues promesses de construction de logements, d'écoles, d'adduction d'eau potable et de courant électrique d'ici quelques années. Ce que l'État français n'a pas été fichu de réaliser pendant toutes ces dernières décennies !

Et puis, comme Retailleau son ministre de l'intérieur qui l'a précédé de quelques jours, il se défausse des responsabilités écrasantes de l'État français en désignant l’immigration comme cause de tous les maux. Le mépris, l’inertie, l’incurie de l'État français à Mayotte sont aussi vieux que la présence française dans l’archipel des Comores et les immigrés n’y sont pour rien !

C’est cette conscience de l’unité des intérêts des travailleurs et des pauvres, quelles que soient leurs origines qui doit émerger de la dévastation de Chido.