La reconversion facile d'un repris de justice17/04/20142014Journal/medias/journalnumero/images/2014/04/une2385.jpg.445x577_q85_box-0%2C104%2C1383%2C1896_crop_detail.jpg

Fil rouge

La reconversion facile d'un repris de justice

Depuis 2011, DSK, accusé de viol aux États-Unis et qui doit encore répondre d'une affaire de proxénétisme, a dû abandonner la politique... mais pas la finance.

Après avoir été licencié du FMI, DSK n'en a pas moins continué à conseiller des gouvernements et des entreprises, à titre privé cette fois. Maintenant, il vient de prendre la tête d'un fonds spéculatif, LSK, qui compte démarrer avec deux milliards de dollars. Ce serait une première depuis la crise de 2008. Pour attirer des capitaux, DSK compte sur son réseau de relations, que ses déboires avec la justice n'a pas fait disparaître, loin de là.

Il ne lui reste plus qu'à racheter des palaces et à organiser des soirées pour grands de ce monde. Là encore, son expérience et ses relations seront un atout.

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