La mobilisation continue

De nouveau, les ex-salariées des boutiques des 3 Suisses se sont retrouvées devant le tribunal des prud'hommes de Roubaix, le 20 septembre.

Elles veulent démontrer que leur licenciement ne se justifie pas au regard des bénéfices du groupe Otto, qui possède la majorité du capital des 3 Suisses.

Elles ont largement raison : Otto est une des plus riches familles d'Allemagne et l'autre actionnaire n'est autre que la famille Mulliez, autres très riches capitalistes. Ce sont donc des familles qui ont accumulé des profits tirés des salariés depuis des lustres.

Leur mobilisation continue, rendez-vous est donné le 29 novembre devant le tribunal de Roubaix.