« Ça fait 50 ans que Michelin nous a usé la santé, et en cinq minutes, ils nous virent », « Michelin assassin », « Menteurs »... C’est avec colère que les ouvriers des usines de Cholet et de Vannes, dont le groupe a annoncé la fermeture, ont accueilli les représentants du gouvernement.
Ils ont mille fois raison et il faut souhaiter que cette colère se répande et pousse à la mobilisation générale. Car des dizaines de milliers de travailleurs sont attaqués sur l’essentiel : leur emploi et leur gagne-pain.